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La Section ouvre son compteur

Jean Olharan et Jérôme Portet ont ouvert leur compteur de succès ce mardi soir en dominant le duo mauléonnais de Gullent Oyhenard et d’Emeric Libois, ce dernier, de Bidart, évoluant en extension. C’est en bouclant la belle de façon radicale, 10-2 que les sectionnistes ont enlevé la décision. Prochaine échénace, vendredi à Biarritz contre la Kostakoak Bidart de Clément Garcia et Thibaut Basque.
23.9.2025
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Jean Olharan a fini très fort
Jean Olharan a fini très fort

Ce que l’on est en droit de redouter lorsque un attelage de trentenaires, quand bien même Jérôme Portet a été très récemment admis dans la confrérie, affronte un autre pointant dans la décennie inférieure, c’est que plus la partie s’allonge dans le temps et plus elle a de chances de faire un joli clin d’œil aux plus jeunes... Dans cette partie de la deuxième journée du championnat de France, la jeune vague du SAM a pu rêver d’un scénario offrant ainsi  une prime à la jeunesse, n’avait-elle pas enlevé la première manche ? A moins que la Section ne la lui ait offerte sur un plateau, ce qui comptablement au moins revient strictement au même. Donc, nous en sommes à 14 partout et pour vous démontrer qu’il n’y avait effectivement pas grosse différence entre ces quatre hommes, on fait appel aux sept égalisations qui ont escorté le planchot à partir du 2-2 jusqu’à cette « novia » qui tourna court. Puisque Jean Olharan, buteur de catégorie, joueur d’expérience, n’accompagna pas son « yo » au-delà du cuadro 4, ce qui est faute entière quand au-delà du cuadro 7, ce n’est qu’un « pasa », soit une demi faute qui vous autorise à engager une deuxième fois…

10-2 pour oublier un but faux !

La bourde, l’erreur, la bêtise, appelez là comme vous voulez, se vit aussi grosse que le nez au milieu de la figure, et pour cause, sans même user du gant Libois-Oyhenard menaient tout heureux 1-0. On ajoute tout heureux  puisqu’ils n’avaient été aux commandes qu’à deux reprises dans la manche, on doit cependant dire à leur crédit qu’ils n’avaient jamais non plus laissé la Section prendre plus de deux points d’avance…

Restait à savoir quelle serait la digestion des « verts et blancs » après ce coup qui pour n’être pas de trafalgar, restait bien un coup dur sort ! Or cette digestion apparut difficile d’abord, lorsque les « rouges et blancs » alignèrent une série de cinq points faisant passer le frisson dans les gradins du jaï palois. Et c’est de là que s’envola l’idée, d’ anciens pouvant souffrir face à plus modernes.

Jean Olharan surtout et Jérôme Portet aussi sérieux que sobre brisèrent cet envol d’un 5-1 rageur suivi d’un 6-0 moins rageur puisque alimenté par les fautes adverses surtout. 15-7, on ne connaîtrait le vainqueur qu’après une belle, mais il ne fallut pas attendre très longtemps, la Section jouant au « punisher » infligea une punition à son rival qui n’en n’était plus un (10-2), enfin qui ne ressemblait plus du tout à celui  qu’il était quand on imaginait que les années pourraient jouer en sa faveur...On avait pas imaginé non plus que le but faux d’Olharan changerait à ce point la face de la partie. Emeric Libois, souvent en souffrance  peut en témoigner.

G. Bouscarel

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